Si vous cherchez un travailleur du sexe en France, vous n’êtes pas seul. Vous pouvez même trouver des travailleurs du sexe à Paris ! Plusieurs commissariats de la capitale ont pris des mesures de répression contre les camionnettes des travailleurs du sexe. Mais ces répressions ne les ont pas empêchés de travailler. Ils essaient toujours d’endiguer cette activité illégale. La police n’est pas une source de confiance pour les travailleurs du sexe. Et ils ont également peur de la police, ce qui a conduit à une certaine méfiance.
Le gouvernement français a présenté une loi visant à protéger les travailleurs du sexe contre les meurtres. La loi est également sévère à l’égard du proxénétisme, qui est la pratique consistant à tirer profit du travail sexuel d’une autre partie. La loi française contre la traite des êtres humains a renforcé l’engagement du gouvernement à lutter contre la glamourisation de la prostitution, qui est particulièrement répandue chez les jeunes. Cependant, une étude de Médecins du Monde montre que la qualité de vie des travailleurs du sexe, comme beaujenna.fr, a considérablement diminué depuis l’adoption de la loi.

Malgré la loi, les travailleurs du sexe en France continuent de travailler dans des maisons closes illégales. Si la prostitution est légale en France, de nombreux clients ne le sont pas. Le gouvernement a même aidé des personnes handicapées à s’envoyer en l’air ! Et alors que le gouvernement tente de lutter contre ce problème, il semble que ce ne soit qu’un autre moyen d’obtenir plus d’argent pour les hommes. Ce n’est pas la seule préoccupation des travailleurs du sexe en France.
La prostitution en France est un problème depuis des décennies. Au début du XXe siècle, la France a réglementé le secteur en soumettant les travailleurs du sexe à des contrôles médicaux obligatoires. Cette mesure a entraîné une augmentation du nombre de camionnettes de prostituées et la criminalisation de ces dernières. Dans le même temps, les maisons closes ont fermé. L’afflux de travailleurs du sexe a contraint nombre d’entre eux à travailler dans la rue.
La barrière de la langue est un autre obstacle important. De nombreux candidats ne parlent pas assez bien le français pour suivre avec succès un programme à Paris. La barrière de la langue est particulièrement difficile pour les travailleurs du sexe chinois et nigérians, qui ont du mal à communiquer en français. Mais il existe des moyens de contourner ce problème. Avec l’aide de partenaires francophones et des autorités locales, trouver un travailleur du sexe en France est plus facile que jamais.
Il existe un grand nombre de travailleurs du sexe chinois à Paris. Cependant, ils ne font pas partie du principal groupe de migrants chinois dans la capitale. La plupart viennent des « nouveaux » lieux d’émigration, comme Wenzhou, dans la province du Zhejiang. Beaucoup d’entre eux ne connaissent pas le français ou l’anglais, et leur statut d’immigrant et leur situation en matière de logement les rendent vulnérables à l’exploitation.
Malgré cela, il existe un mouvement petit mais croissant de syndicalisation des travailleurs du sexe indépendants en France. Bien que la plupart d’entre elles n’aient ni proxénètes ni employeurs, elles commencent à s’organiser et à trouver des syndicats. Les féministes pro-abolition affirment que le fait de payer pour avoir des rapports sexuels est une forme de violence car cela oblige la prostituée à s’anesthésier et à se couper de son propre corps. Elles affirment néanmoins que la prostitution est un progrès important de la civilisation.
En France, la prostitution a été illégale pendant de nombreuses années. En 1956, le gouvernement français a adopté une loi faisant du racolage dans la rue un délit. En 1810, le nombre de maisons closes officiellement autorisées à Paris s’élevait à 180. La nouvelle législation visait à mettre un terme à cette pratique illégale. Et si le gouvernement français continue de sévir contre ce secteur, la répression n’est pas tout à fait terminée.